Aujourd’hui journée tourisme. Un peu de repos ça fait du bien.
Première visite : la mission franciscaine sur les hauteurs de Santa Barbara.
Photo 1 Chapelle de la mission franciscaine avec sa croix |
Photo 2 Chapelle de la mission avec sa fontaine |
Photo 3 Un hurluberlu devant la plaque de la chapelle |
Photo 4 Un hurluberlu franciscain |
Photo 5 Cloître version Californie |
Après la visite de la mission, petit retour en centre ville avec les rues commerçantes et leurs fontaines coquettes.
Photo 6 Rue commerçante avec les drapeaux américain, californien et mexicain |
Photo 7 Un hurluberlu près d’une fontaine |
Photo 8 Une fontaine peu conventionnelle |
Puis visite de « El Presidio » qui servait de caserne militaire, préfecture, prison, tribunal du temps où le drapeau mexicain n’était pas une simple décoration. Maintenant que l’aigle est l’emblème du pays, l’édifice sert de tribunal et héberge les différentes administrations publiques.
Photo 9 Un hurluberlu devant « El Predidio » |
Photo 10 L’emblème du pays |
Photo 11 Vue du haut de la tour |
Pour finir en beauté, petite balade sur la plage avec couché de soleil à l’arrivée.
![]() |
Photo 12 Une île au loin, un petit oiseau tout près |
Photo 13 The End |
si tu as les liens d'Alice et Antoine, fais tourner !
RépondreSupprimerSuper photos, espèce de super veinard...
La dernière fois que je les ai vus, ils disaient qu'ils feraient un concours de photos de stage. Mais je ne sais pas qu’elles sont exactement les règles Facebook ou blog. Entre les buildings et les musés de New York et la montagne, la mer, la faune et la flore néo-zélandaise je pense que Alice va se faire laminé mais bon, elle croit toujours qu’elle a ces chances.
RépondreSupprimerLes photos sont vraiment qu’un aperçu. Le temps est vraiment sublime et la ville est assez jolie. La seule chose qui me fait un peu peur c’est que le manque de pluie et la température de cet hiver (25° en février) conduise à un été trop sec pour les plantes. Mais bon les américains devraient arranger cela à grand coup d’arrosoir.
Coucou ! Attends un peu que je sois arrivée avant de médire ainsi cher Alexandre. D'abord, les cailloux, les fleurs et les koalas ça me gonfle. Et puis toi t'es habitué aux grizzlies dans ton jardin, plus rien ne t'émeut.
RépondreSupprimerJe sens que j’ai piqué quelqu’un au vif. Si tu ne veux pas prendre des photos des paysages à couper le souffle, des animaux les plus improbables et des plantes les plus colorées, c’est ton choix. Mais il n’empêche que ce sont des images dignes d’être immortalisées par une photo. Pour ma part les buildings de verre et d’acier ça me laisse de marbre. Mais bon libre à toi de les aimer ainsi que l’atmosphère polluée, le soleil caché par des masses d’aciers, le klaxonne new-yorkais à toute heure du jour et de la nuit, les trottoirs tellement sales qu’on se croirait en K-fêt un vendredi matin, l’odeur de friture et de saucisses d’un marchant ambulant de hot-dog et j’en passe.
RépondreSupprimerOuh là là, t'as pas aimé NY toi ! J'aime bien la kfet le vendredi matin, jolie comparaison.
RépondreSupprimerJe n’ai pas trop aimé la ville. Je m’y sentais oppressé de tous mes sens. J’avais l’impression qu’on me forçait à entendre tout ces bruits de voitures, de foules en mouvement comme si une radio était allumée trop fort sur une fréquence entre deux stations. De même c’était comme si les lumières clignotantes des panneaux publicitaires me harcelaient pour que je regarde leur contenu. Je l’avais visité en été et l’humidité mêlée de poussières et de fumées de friture rendais ma peau aussi collante que de la UHU. Pour l’odorat et le goût j’ai déjà parlé des vendeurs de hot dog.
RépondreSupprimerGlobalement, je n’apprécie pas trop les villes américaines. On dirait qu’elles ont été bâties rapidement pour parquer le plus de monde possible. Les étages sont construits à la chaîne sur des rues qu’on repère par un numéro. On a l’impression d’être à la Sécu, où on préfère nous désigner par un numéro que par un nom. C’est rien mais ça renforce la déshumanisation qui apparait avec les fortes concentrations d’hommes.
Je vais tout de même te dire ce que j’ai aimé : les comédies musicales de Broadway. Il faut absolument que tu ailles en voir quelques unes. Je te conseillerai aussi d’aller voir un match de football américain où de baseball, histoire d’évaluer la démesure américaine. Mais bon tout ça pourrait exister sans New-York. On ne peut pas aimer Paris pour le Louvre, sinon on m’aimerait n’importe qu’elle ville du moment qu’elle héberge les œuvres du Louvre.